Attention, là on tape dans le haut du panier du vocabulaire du Bobo voyageur ou du doux rêveur… finalement on est un peu des deux.

Désillusion sur la découverte de la Côte Amalfitaine

Dans nos têtes la côte Amalfitaine (de Sorrente à Salerne en passant par Positano, Amalfi…) résonnait comme une douce musique, la dolce vita, le sentier des dieux, le limoncello, les jolis petits villages pittoresques…
Une fois de plus on s’est dit qu’avec notre chatte (chance) légendaire on arriverait bien à se trouver un camping avec vue sur mer et emplacement ombragé.
Clairement on s’était enfoncés le doigt dans l’œil un peu trop profond. Déjà si on avait étudié la topographie, on aurait vite compris que c’était du domaine de l’impossible.
Bon une fois coincés entre le rêve et la réalité, entre une 500 et une Punto dans un méchant bouchon, on a suivi notre instinct.
La côte Amalfitaine on se l’est faite en IN-TÉ-GRA-LI-TÉ … en bagnole !

On a roulé, roulé, et passé la Côte Amalfitaine

Bon c’est sûr c’est moins charmant et vu le niveau de technicité et l’étroitesse des routes, j’ai dû sortir ma plus belle conduite. On a quand même mis au bas mot 2h30 pour faire la trentaine de kilomètres.

Grâce à quelques Pit Stops et à Julie notre reporter Fenêtre passager, on a pu vous rapporter quelques images !

On a fini par s’échouer bien plus loin dans la baie de Salerne où on s’est empressés de se baigner.

Depuis Salerne il est encore possible de se faire la côte Amalfitaine en ferry, mais franchement si c’est pour faire des queues interminables et devoir stresser sur l’heure des bateaux, non merci !

Bref, Capri, c’est fini, mais promis on y retournera!

Faire sonner le klaxon Tour de France dans les tunnels de Portofino  : CHECK

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